Joy Caloc

Libres
60×80 cm
Acrylique sur toile
2017
–

Joy Caloc (Paris  – France).
Chaque œuvre générée est un appel, un thème, une accroche, un message.
L’Art n’est pas une décoration. Il est une Révolution. Il est vivant. Bien-sûr que cela doit être superbe à mes yeux, mais c’est avant tout un message visuel et plastique que je présente à une foule ou au cœur même d’une personne. Cela doit accrocher quelque chose à l’intérieur (ART VELKRO) et générer une extrême admiration ou un extrême rejet de ce que l’on voit sur l’œuvre d’Art.
Au travers du Beau émanent de toute la Création, j’aide notre public à s’échapper des réalités de son présent pour en trouver sa propre délivrance. Les couleurs sont choisies en fonction de l’émotion voulue sur la toile, et recherchées dans le style de trait qui y correspond. Parfois inspirée des impressionnistes, parfois du Pop Art, soudainement figuratif et rarement réaliste, il n’est aucune œuvre qui ne soit torturée à l’extrême beauté de ce talent qui mélange tout pour produire du NOUVEAU.

Après avoir passé une enfance entière à visiter les recoins de Notre Dame de Paris pendant que ma mère travaillait comme infirmière à l’Hôtel Dieu durant 15 années de sa carrière ; éduquée par le livre de Victor Hugo, dont la philosophie pensante ne cherchait que la liberté dans le cœur des peuples d’antan ; et suites aux attentats, ayant passé l’été 2015 à dessiner des portraits sur les quais de Seine pour garder la survie de mon métier de peintre et de notre culture parisienne ; j’apprenais courant 2016 le besoin de Notre Dame pour sa restauration. La Charpente réclamait 150 millions d’euros, elle s’effritait.
J’ai eu l’envie de propager l’idée en France via mes réseaux sociaux habituels que nos monuments et plus encore le cœur de Notre Dame de Paris devaient dorénavant être restaurés pour restaurer le cœur de la Culture française, très fortement méprisée durant ces temps contemporains.
Etant cordialement invitée à exposer sur les plus grands lieux de la Capitale, via mon réseau du show business et celui des entrepreneurs, j’acceptais volontiers de présenter cette œuvre de façon à obtenir une partie de son financement pour la restauration première de Notre Dame.
J’y avais posé des touches des pinceaux de Toulouse-Lautrec, Matisse, Pissarro, Van Gogh afin que l’âme de nos peintres du 19ème siècle soient régénérés avec la mienne, apportant la joie de voir un tel spectacle sous une Tour d’Argent. Le siècle des lumières s’effondrant de la même façon, j’y peignais une vision de lumière sous forme de pointillismes d’or dans le ciel de ce tableau.

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